L'argument d'autorité, ça marche souvent du tonnerre, surtout si la célébrité est bien choisie pour coller au produit. Mais bon, faut pas que ça sonne trop faux non plus. Sinon, je trouve que l'identification, c'est hyper fort. Quand tu te reconnais dans une pub, ça te touche direct au bide ! Tiens, à ce propos, j'ai trouvé une petite vidéo marrante qui résume bien un des ressorts principaux...
https://www.youtube.com/watch?v=wdiwWZaAUnc[/video] 'Le secret des pubs qui cartonnent : 3 mots pour persuader' . Ça donne une autre perspective, non ?
Clairement, l'identification c'est un must. Mais je pense qu'il y a aussi un truc qui joue beaucoup, c'est la rareté ou l'urgence. Genre "offrelimitée", "plusque3enstock", ça pousse à l'achat impulsif. Faut juste pas en abuser, sinon les gens se rendent compte du truc et ça devient contre-productif.
Salut Fox Mulder23,
Quand tu parles de techniques de plus en plus subtiles, tu penses à quoi exactement ? C'est dans le ciblage, le storytelling, ou autre chose ? Et est-ce que tu as l'impression que les réseaux sociaux ont changé la donne en termes de persuasion ?
Salut CryptoProtect,
Quand je parle de subtilité, je pense surtout à la façon dont les marques s'intègrent dans nos vies, sans qu'on ait l'impression d'être matraqués de pub. Genre, le placement de produit hyper discret dans une série, ou l'influenceur qui utilise un produit "parhasard" dans ses stories. C'est moins frontal, plus insinuant, et du coup, plus efficace, je trouve.
Et oui, les réseaux sociaux ont tout changé ! Le ciblage est tellement précis maintenant qu'ils peuvent adapter le message à chaque personne. Sans compter les algorithmes qui te montrent ce que tu as "envie" de voir... C'est un peu flippant, non ?
Salut Fox Mulder23,
Complètement d'accord avec toi sur l'intégration discrète des marques. C'est devenu un art, et quand c'est bien fait, on ne le voit presque pas. On est loin des spots publicitaires d'avant, qui hurlaient "ACHETEZ!". Maintenant, c'est plus une suggestion, une association positive.
Pour les réseaux sociaux, c'est clair que le ciblage est devenu ultra-précis. On parle de micro-ciblage, même. D'ailleurs, en parlant de ça, j'ai lu une étude (je ne sais plus où, faudrait que je la retrouve) qui montrait que les pubs personnalisées avaient un taux de conversion supérieur de près de 25% par rapport aux pubs génériques. C'est énorme !
Et ce n'est pas uniquement une question de ciblage démographique ou d'intérêts. Les algorithmes analysent nos comportements en ligne, nos interactions, nos émotions (oui, oui, nos ÉMOTIONS !). Ils peuvent détecter si on est réceptif à un certain type de message à un moment donné. C'est de la manipulation à grande échelle, en fait.
Ce qui me fait penser aux principes de Cialdini, que j'ai mentionnés plus tôt. La rareté, l'engagement, la preuve sociale... Tous ces biais cognitifs sont exploités à fond par les marketeurs. Par exemple, si tu vois un produit avec une mention "ÉditionLimitée" ou "Derniersexemplaires", ton cerveau va automatiquement l'associer à quelque chose de précieux, de désirable. Même si, en réalité, ce n'est qu'un vulgaire gadget fabriqué à des millions d'exemplaires.
Et concernant les influenceurs, c'est pareil. Leur crédibilité repose sur la "preuvesociale". Si des milliers de personnes suivent un influenceur et achètent les produits qu'il recommande, on est plus enclins à faire de même. C'est le fameux effet de groupe. On a besoin de se sentir rassurés, de faire comme les autres.
Donc oui, c'est un peu flippant, mais en même temps fascinant de voir comment ces mécanismes fonctionnent. Ça demande une vigilance accrue de notre part en tant que consommateurs.
Tiens, Velocity, tu dis que les algorithmes analysent nos émotions... Tu as des exemples concrets de comment ils font ça ? Genre, ils se basent sur quoi exactement comme données ? Les expressions faciales, le ton de la voix, ou juste nos clics et nos partages ?
Parce que si c'est le cas, c'est encore plus balèze que ce que j'imaginais...
NuageFatal87, c'est une excellente question. De ce que j'ai compris, ils utilisent un peu tout ce que tu as cité.
Les clics, les partages, les commentaires, c'est la base. Ça leur donne une idée de ce qui nous intéresse. Mais ils vont plus loin. Ils analysent le texte de nos posts pour détecter les mots clés et les sentiments associés. Ils traquent aussi le temps qu'on passe sur une page, les endroits où on bouge la souris... Bref, tout ce qui peut donner un indice sur notre état émotionnel.
Pour les expressions faciales et le ton de la voix, c'est plus expérimental, mais certaines plateformes s'y mettent. Imagine une pub qui change en fonction de ta réaction... C'est de la science-fiction qui devient réalité.
Fox Mulder23, c'est glaçant cette histoire de pub qui s'adapte en temps réel à nos réactions. On est plus très loin du Minority Report là...
Et pour compléter, j'avais lu un article sur l'analyse sémantique des commentaires. Ils peuvent déterminer si un commentaire est sarcastique ou non, par exemple. C'est dire le niveau de détail !
le 21 Mai 2025
L'argument d'autorité, ça marche souvent du tonnerre, surtout si la célébrité est bien choisie pour coller au produit. Mais bon, faut pas que ça sonne trop faux non plus. Sinon, je trouve que l'identification, c'est hyper fort. Quand tu te reconnais dans une pub, ça te touche direct au bide ! Tiens, à ce propos, j'ai trouvé une petite vidéo marrante qui résume bien un des ressorts principaux...
https://www.youtube.com/watch?v=wdiwWZaAUnc[/video] 'Le secret des pubs qui cartonnent : 3 mots pour persuader' . Ça donne une autre perspective, non ?
le 21 Mai 2025
Clairement, l'identification c'est un must. Mais je pense qu'il y a aussi un truc qui joue beaucoup, c'est la rareté ou l'urgence. Genre "offrelimitée", "plusque3enstock", ça pousse à l'achat impulsif. Faut juste pas en abuser, sinon les gens se rendent compte du truc et ça devient contre-productif.
le 22 Mai 2025
Salut Fox Mulder23, Quand tu parles de techniques de plus en plus subtiles, tu penses à quoi exactement ? C'est dans le ciblage, le storytelling, ou autre chose ? Et est-ce que tu as l'impression que les réseaux sociaux ont changé la donne en termes de persuasion ?
le 22 Mai 2025
Salut CryptoProtect, Quand je parle de subtilité, je pense surtout à la façon dont les marques s'intègrent dans nos vies, sans qu'on ait l'impression d'être matraqués de pub. Genre, le placement de produit hyper discret dans une série, ou l'influenceur qui utilise un produit "parhasard" dans ses stories. C'est moins frontal, plus insinuant, et du coup, plus efficace, je trouve. Et oui, les réseaux sociaux ont tout changé ! Le ciblage est tellement précis maintenant qu'ils peuvent adapter le message à chaque personne. Sans compter les algorithmes qui te montrent ce que tu as "envie" de voir... C'est un peu flippant, non ?
le 23 Mai 2025
Salut Fox Mulder23, Complètement d'accord avec toi sur l'intégration discrète des marques. C'est devenu un art, et quand c'est bien fait, on ne le voit presque pas. On est loin des spots publicitaires d'avant, qui hurlaient "ACHETEZ!". Maintenant, c'est plus une suggestion, une association positive. Pour les réseaux sociaux, c'est clair que le ciblage est devenu ultra-précis. On parle de micro-ciblage, même. D'ailleurs, en parlant de ça, j'ai lu une étude (je ne sais plus où, faudrait que je la retrouve) qui montrait que les pubs personnalisées avaient un taux de conversion supérieur de près de 25% par rapport aux pubs génériques. C'est énorme ! Et ce n'est pas uniquement une question de ciblage démographique ou d'intérêts. Les algorithmes analysent nos comportements en ligne, nos interactions, nos émotions (oui, oui, nos ÉMOTIONS !). Ils peuvent détecter si on est réceptif à un certain type de message à un moment donné. C'est de la manipulation à grande échelle, en fait. Ce qui me fait penser aux principes de Cialdini, que j'ai mentionnés plus tôt. La rareté, l'engagement, la preuve sociale... Tous ces biais cognitifs sont exploités à fond par les marketeurs. Par exemple, si tu vois un produit avec une mention "ÉditionLimitée" ou "Derniersexemplaires", ton cerveau va automatiquement l'associer à quelque chose de précieux, de désirable. Même si, en réalité, ce n'est qu'un vulgaire gadget fabriqué à des millions d'exemplaires. Et concernant les influenceurs, c'est pareil. Leur crédibilité repose sur la "preuvesociale". Si des milliers de personnes suivent un influenceur et achètent les produits qu'il recommande, on est plus enclins à faire de même. C'est le fameux effet de groupe. On a besoin de se sentir rassurés, de faire comme les autres. Donc oui, c'est un peu flippant, mais en même temps fascinant de voir comment ces mécanismes fonctionnent. Ça demande une vigilance accrue de notre part en tant que consommateurs.
le 23 Mai 2025
Tiens, Velocity, tu dis que les algorithmes analysent nos émotions... Tu as des exemples concrets de comment ils font ça ? Genre, ils se basent sur quoi exactement comme données ? Les expressions faciales, le ton de la voix, ou juste nos clics et nos partages ? Parce que si c'est le cas, c'est encore plus balèze que ce que j'imaginais...
le 23 Mai 2025
NuageFatal87, c'est une excellente question. De ce que j'ai compris, ils utilisent un peu tout ce que tu as cité. Les clics, les partages, les commentaires, c'est la base. Ça leur donne une idée de ce qui nous intéresse. Mais ils vont plus loin. Ils analysent le texte de nos posts pour détecter les mots clés et les sentiments associés. Ils traquent aussi le temps qu'on passe sur une page, les endroits où on bouge la souris... Bref, tout ce qui peut donner un indice sur notre état émotionnel. Pour les expressions faciales et le ton de la voix, c'est plus expérimental, mais certaines plateformes s'y mettent. Imagine une pub qui change en fonction de ta réaction... C'est de la science-fiction qui devient réalité.
le 24 Mai 2025
Fox Mulder23, c'est glaçant cette histoire de pub qui s'adapte en temps réel à nos réactions. On est plus très loin du Minority Report là... Et pour compléter, j'avais lu un article sur l'analyse sémantique des commentaires. Ils peuvent déterminer si un commentaire est sarcastique ou non, par exemple. C'est dire le niveau de détail !